Ma présentation examine la relation entre les changements dans les relations familiales et l’ascension de la politique de l’habitat au Sénégal entre la Première Guerre Mondiale et 1974. Dans les décennies avant le 20ème siècle, la chute des royaumes Wolof, l’abolition du l’esclavage, le développement de l’économie d’arachide, et la conquête colonial ont bouleversé les systèmes de la reproduction social et les vie domestiques des communautés autour de la côte du Sénégal. Vers 1914, avec la mobilisation massive des soldats ouest-africains pendant la première guerre, un lien était forgé entre la stabilité de l’État colonial français et la bien-être domestique des sujets et citoyens sénégalais et leurs familles. Quand l’état colonial a commencé à détruire des maisons-dit « taudis » pour combattre la peste après 1914, les attentes fait pendant de la guerre ont motivé des citadins Lebu ont demandé l’assistance official dans leurs efforts de reconstruire leurs maisons et avec eux, les formes de reproduction sociale ils ont fait en réponse des changements historique des dernières décennies. Malgré la réticence des officiels coloniaux, ces mobilisations ont forgé une idée que l’État au Sénégal a la responsabilité d’assister les sénégalais à trouver et construire des maisons qui peuvent aider leurs efforts de faire une famille. Après la seconde guerre mondiale, cette idée était transformée d’une idée contestée à un pilier des régimes colonial et postcolonial au Sénégal. Surtout à Dakar, des officiels français et ensuite sénégalais ont construit des maisons « modernes » pour forger une classe des salariés à Dakar avec des familles nucléaires, vu comme la clé au développement économique et la stabilité politique pendant la décolonisation. Les résidents de ces maisons ont adapté ces espaces pour promouvoir leur propres systèmes familles en même temps qu’ils ont reproduit l’idée que les familles des travailleurs salariés étaient les clés au développement du Sénégal après l’Indépendance. Donc, ces espaces et idées ont justifié l’inclusion d’un nouveau type de famille dans la nation, celle des travailleurs salariés, mais ont exclu la majorité des Sénégalais qui travaillent dans l’économie-dit « informel.» Les crises économiques des années 70s ont limité la capacité de l’état Sénégal de construire, qui a facilité une chute dramatique dans la capacité de la politique de l’habitat de structurer les relations entre l’état et les familles sénégalais.